Knocking on gullwing's door
Le système d'ouverture en porte papillon est célèbre depuis la Mercedes 300SL mais bien d'autres modèles ont été produits avec ce même système d'ouverture ; en voici la liste, espérons, exhaustive.
Cette liste ne contient pas de concepts-car ni de prototypes ; en-effet, les constructeurs mettent souvent ce genre d'ouverture pour permettre au public de mieux voir l'intérieur des voitures lors de salon.
« C'est parce que les grandes productions de masse ne sont pas toujours alléchantes et que les voitures de série n'attiraient pas Alain Rossignol que ce jeune constructeur d'Auch eut l'idée de cette carrosserie originale et de sa construction à partir d'éléments mécaniques Renault. On peut bien sûr épiloguer sur l'esthétique anguleuse de l'avant mais l'ensemble ne manque pas d'harmonie et d'équilibre.
Le châssis-coque est boulonné à une caisse en plastique dont la rigidité est sans reproche. Pour ne pas tomber dans des frais excessifs, les vitres sont planes, et chose à noter, les portes sont du style "papillon".
Les éléments mécaniques (ensemble moteur-boîte arrière, essieu avant, etc.) proviennent d'une Renault 10 de 1100 cm3. Ainsi conçue, la voiture pèse 650 kg et monte à 135 km/h. Le radiateur est situé à l'avant et le balai d'essuie-glace renforcé est unique.
Bravo donc à Alain Rossignol dont la voiture correspond parfaitement aux normes de sécurité puisqu'elle est passée sans encombre devant le service des Mines. » (Auto-Journal)
Née en 1976 dans le petit garage (spécialisé dans le polyester) d'un petit village du nord de la France,la Mistral est le fruit du travail de M.Arguello,un ouvrier belge passionné de stylisme...M.Moerman expose la voiture au côté de buggy à châssis multimaco car il a l'intention de la commercialiser. La Mistral emprunte un châssis multimaco en tôle pliée et soudée et rallongé de 20 cm.La carrosserie est supportée par un treillis tubulaire.Le moteur est en porte-à-faux arrière et c'est un 1100cc de Renault R8 S,un 1600S pouvant aussi être installé ou bien un moteur Simca ou Volkswagen.La version qui devait être commercialisée était équipée d'un Simca 1000 Rallye 2.Le train arrière provient d'une R8 S,le train avant est celui d'une R8 Gordini,tout comme la boîte de vitesses.Les pédaliers ou la direction sont de série R8 S.Les jantes sont des Gotti,7 pouces à l'avant et 8 à l'arrière chaussées de Pirelli 195x13 et 235x35.La carrosserie est évidemment produite en polyester,avec 2 portes papillon. Seulement deux exemplaires construits.
http://passionautomobileforum.xooit.fr/t648-ARGUELLO-Belgique.htm
En 1958, c'est en voyant une Alpine A106 accidentée, dans l'atelier de carrosserie Vinatier (le père du pilote Jean Vinatier), situé 3, rue Etienne Dolet au Kremlin-Bicêtre (Val de Marne), que Jacques Durand se dit que fabriquer une vraie automobile n'est pas très compliqué.
La production en série de cette voiture est l'oeuvre d'un trio : Jean Schwab en est le producteur, Jacques Durand le scénariste et maquettiste et Jaunet l'assistant-technicien. Dans sa cave à Antony (Hauts de Seine), Jacques Durand construisit une carrosserie réalisée en plastique sur un moule en plâtre. Entre temps, Charles Cusson préparait un châssis multitubulaire, très rigide, sur lequel devait s'ajuster le moteur et les suspensions de Dauphine fournis par Jean Schwab. La légende veut que Jacques Durand ait été obligé de démolir l'escalier de la cave de sa maison pour sortir sa première coque. Cette jolie berlinette sport aux formes aérodynamiques fût baptisée Atla.
http://www.team-r8.com/index.php/topic/15674-atla-19-exemplaires-construits-par-j-durand/
The Aztec 7 is a kit car that was designed and built by one of the largest and longest-lived kit car companies in America called Fiberfab. Fiberfab got it's start in the early 1960's building street-rod parts and body panels for Mustangs. Their first full kit car was the Aztec GT. They came out with several versions of this car in the mid-1960's, and later they developed many other kits including the very popular Avenger/Valkyerie. In the early 1970's they decided to create a replica of the Bertone Carabo concept car and the Aztec 7 was born. Released around 1976, it was somewhat popular, and estimates are that they sold over 250 full kits. When Fiberfab was purchased by Classic Motor Carriges in 1983, the new company wanted to focus only on neo-classic kits and many of the Fiberfab designs were doomed, including the Aztec 7. Depending on who you talk to, either Fiberfab was visionary, because of the way they shaped the industry in the 1960's with easy to build kits that included inner body panels, or Fiberfab hurt the entire kit car industry for years with their ruthless and questionable business practices. One thing is for sure, they developed some really great looking cars!
La Bricklin SV-1 était une voiture sport construite au Nouveau-Brunswick, au Canada. La Bricklin SV-1 était assemblée à Saint-Jean tandis que les éléments de carrosserie étaient fabriqués à Minto. La production, destinée au marché américain, commença en 1974 et se poursuivit jusqu'au début 1976. L'automobile était la création de Malcolm Bricklin, un millionnaire américain qui fonda auparavant Subaru of America. Les ventes n'atteignirent pas les prédictions, et seulement 2 854 voitures furent construites. Il en existerait environ encore 1 100
Compagnie créée par les frères Tommy et Clive Wren à Londres après la Seconde Guerre mondiale. Les premières transformations portent sur l'Austin Seven. Dès 1956, ils proposent un châssis spécial pour MGA, Morris Minor et Ford. Plusieurs options de carrosserie sont proposées pour cette Convair : ailes avant avec ou sans phares incorporés, hard-top, parebrise en une ou deux parties, portes "papillons", etc. Améliorant leur châssis et s'étant très spécialisés dans les matériaux nouveaux (ils diversifient d'ailleurs leurs activités sur ce point), ils multiplient leur offre. Outre la Convair (version compétition) et la Vitesse (version route), ils proposent en 1958 une carrosserie complète appelée Excell et, en 1959, une version GT Coupé est proposée (6 exemplaires construits). Ces voitures acceptent des éléments mécaniques Ford ou BMC et des moteurs Coventry Climax, MGA ou TD, Sprite, Triumph Herald, Morris Minor et Ford. Des carrosseries Convair et Excell ont aussi été montées sur des châssis Triumph et Buckler. Les deux frères créent alors deux compagnies distinctes mais proposant les mêmes véhicules, Clive restant à Londres aux commandes de la compagnie Nordec, tandis que Terry fonde la TWM à Newark. Ils se retrouvent ensuite pour se lancer dans d'autres activités (pétrole, aviation légère), et ils abandonnent le secteur automobile quand apparaît l'Austin-Healey Sprite jugée trop concurrentielle. Une bonne centaine de véhicules auront été créés.
http://www.geomatique-liege.be/MGJP/Pages/MG_Speciales/Convair.htm
Après avoir quitté son poste de vice-président de la General Motors, John Delorean fonde la Delorean Motors Company en 1975. Pour créer sa première et unique voiture, la DMC-12, John Delorean nomme William Collins, alors ingénieur chez General Motors, responsable du projet. John Delorean veut une voiture bien spéciale : Ce sera une voiture de sport avec un moteur en position arrière, une carrosserie en acier inoxydable, des portières papillons (comme la Mercedes 300 SL), et où la sécurité des passagers est un point important. Au Salon de Turin, les deux hommes rencontrent Giorgetto Giugiaro (designer et propriétaire de la société ItalDesign) qui accepte de concevoir le design de la DMC-12. Pour la conception de la voiture proprement dite, John DeLorean choisit Colin Chapman de Lotus. D’ailleurs, le châssis en « Y », les suspensions et la coque en matériaux composites sont de purs produits Lotus. La construction de l'usine commence en 1978 dans la ville de Dunmurry près de Belfast. L'une des conditions pour que l'usine fonctionne correctement en ces temps troublés est que la DeLorean Motors Company embauche 50 % d'ouvriers catholiques et 50 % d'ouvriers protestants, afin de garantir l'égalité des religions. La conception de la Delorean se termine en même temps que l’usine en Irlande du Nord ; la production de la DMC-12 commence donc en 1981. En dépit d’une bonne publicité, et d’un accueil plutôt bon, les ventes de la DMC-12 sur son marché principal, les Etats-Unis, ne suivent pas et John Delorean a besoin d’argent pour faire tourner correctement son usine. Le Gouvernement Britannique ne veut plus investir d’argent, il a déjà donné l’équivalent de 200 Millions de dollars et voudrait bien avoir un retour sur investissement. A court de capitaux, John Delorean cherche par tous les moyens un investisseur capable d’injecter 50 Millions de dollars supplémentaires dans la Delorean Motors Company. Jusqu'à son décès, John Delorean sera poursuivi par ses créanciers, mais cela ne l’empêchera pas d’avoir d'autres projets qui n'auront malheureusement jamais vu le jour : une montre et une nouvelle automobile...
Created by former racing driver Enea Casoni and based upon a modified Ferrari F430 platform, with a low-slung hand built aluminium & carbon fibre bodywork, incorporating gull-wing doors.
The Ferrari 4308cc V8 engine, producing 600 bhp with a six-speed manual gearbox.
This fiberglass body was available to fit an MGA chassis (among other cars). It was made in the 1960's by Fiberfab in California. The body was originally called the Banshee, but after Fiberfab sold the name to GM the car became the Caribee. The Fiberfab kit cars generally had optional parts available for mostly complete trim, being intended for street use. In the end most of them would never be seen on a race track.
Brazil has never been a hot bed for super cars but the cliche wedge shape of the 1970’s continued with this one. Called the Hofstetter Turbo, the car was produced in tiny numbers with only 18 sold and two variants produced in the cars 5 year life span. Hofstetter used a Volkswagen 1.8L or 2.0L engine capable of 120MPH and 147MPH respectively. With it’s limited production it’s extremely hard to find one with most still in native Brazil.
Une réplique de Ford GT40 a été construite en 1969. Elle est dotée d'un 5.0L de 420ch. Plusieurs modifications furent apportées par les différents propriétaires, notamment sur le moteur. Elle se nomme aujourd'hui MKIII mais c'est bel et bien toujours le même modèle puisqu'unique
L'Isera Imperator a été produite à 30 exemplaires et reprenait les lignes de l'étude de style de Mercedes : la CW 311.
Avec sa ligne unique et ses traits s'apparentant à ceux d'une Jaguar XJ220, c'est une supercar, ou plutôt un prototype!
Créée par Eberhard Schulz, un ancien dessinateur chez Porsche, et ses 2 fils, l'Isdera ne cache pas ses origines germaniques. Ses feux avant proviennent de la 968, et la partie arrière de la carrosserie rappelle celle de la 917.
Mais au delà de ces traits stylistiques impeccables se cache une mécanique et une technologie de pointe. Schulz aurait déboursé près de 4 millions d'euros pour développer son automobile. Elle est équipée entre autres d'un aileron inclinable selon la vitesse et d'une suspension à hauteur variable !
Son moteur est un V12 Mercedes de 6.0 litres, qui développe 408 chevaux à 5200 tours/minute, assez pour permettre à la 112i d'atteindre les 330 Km/h en vitesse de pointe et effectuer le 0 à 100 en 4.7 secondes. Des chiffres qui rappellent furieusement la XJ220 !
Malheureusement, la banqueroute d'Isdera compromettra la production en série de la 112i. Il n'existe donc aujourd'hui qu'un exemplaire de la Commendatore 112i, mais au moins elle roules, elle aurait même plus de 5000 Km au compteur !
Telle un mirage dans le monde de l'automobile, l'Isdera aura été un espoir déçu, mais elle aura attisé la passion et l'intérêt de beaucoup d'amateurs, et ce n'est pas rien.
Before the Fiero, designers wanting to craft lines around a car with the engine in the back had to turn to the Volkswagen Beetle. We showed you the Porsche that wanted to be the Ferrari, now we have the VW that want's to be a Porsche. The Laser 917 is a bold effort to mimic the beloved Porsche 917. The bold move doesn't quite pay off as the long body on the short VW results in a car with headlights that are bigger than the wheels and a view that leaves about four inches between the steering wheel and the roof. For admirers like Tonyola, it's as close to a street legal 917 as your likely to find or be able to afford.
By the early 1960’s competition in the Clubmans and Sportscar classes of racing had become stiff indeed and as ever racers were looking for easy laurels. One way was entry into the GT classes where cars tended to be heavier and therefore slower for their engine size. Designed with competition in mind, Messrs Fibrepair Limited of 21 Lancaster Mews, Paddington, W2 displayed their gullwing hardtop called “The Seven GT” on Stand 22 at the Racing Car Show in January 1963. Previously the aluminium prototype had raced at Boxing Day, Brands Hatch 1962 where it turned in the fastest practice time, although sadly sparking plug failure had meant a d.n.f. in the actual race. Fibrepair’s “Seven GT” hardtop cost £77-0-0 supplied in kit form, but could be fitted to your car by the suppliers in a day for an additional £10-0-0. In the event only a few cars with these hardtops found their way onto the public roads as the cockpit atmosphere was uncomfortable being, too hot because of lack of ventilation, too noisy due to lack of sound insulation and a sound box effect and too smelly due to engine and exhaust fumes and the smell of hot glass fibre. More were fitted to competition Lotus Sevens, but sadly only a handful of the few made survive today.
In 1974 an XI was offered for sale after a long period in the wilderness. It had a very pretty Gull-Wing Coupe body fitted to an otherwise conventional Series 2 car. An English dealer named Rod Leach purchased the XI, had it finished and made into a running car. Mr Leach never disclosed the exact source of his purchase at the time and so tracing the car prior to this is quite difficult.
This Marcos GT gullwing coupe was a racecar from new! It was originally owned and raced by Stephen Minoprio in England. Mr Minoprio was the 1962 Autosport Championship winner in his class with this car, and he continued to race it for many years. The car's international and national (U.K.) race history includes races at Goodwood, Silverstone, Brands Hatch, etc.
Colonel Andy Seward purchased the car in 1994 while stationed with the U.S. Army in England. Andy raced the car in the U.K. and Europe from 1994 through 1997, but his situation obliged him to sell it. The next purchaser relocated to car to Japan, but eventually Andy tracked down the car and arranged to repurchase it.
The restoration shown here was completed in February 2009. General repair and restoration work was completed by the owner. Race prep and final completion of the restoration was by Dave Handy at Sasco Sports in Alton Virginia. The new paint is a Jaguar color called "Cotswold Blue" (circa 1959-1964) and it was applied by Brian Tocke of Fredericksburg Virginia.
A la fin de l’année 1960, Costin se désengagea de la société. En 1961, les frères Dennis et Peter Adams intégrèrent l’équipe Marcos et apportèrent de nombreux changements. En sortit, en novembre 1961, la Marcos Luton Gullwing (13 furent produites). Le châssis était composé de plusieurs fines épaisseurs collées ensemble de contre-plaqué marin, donnant ainsi une voiture de course très performante du fait de son faible poids (homologuée à 475kg) et de la solidité de sa coque.
A total of eight were built in two versions, one with a flip-top like the Matula, and one with gullwing doors, and half of those are still known to exist.
La Mercedes 300SL, basée sur une voiture de compétition à succès, est célèbre pour être la première équipée de l'injection d'essence. Le coupé a ses portes papillons à cause du châssis tubulaire (avec un haut seuil) qui a comme inconvénient majeur de déverser l'eau de pluie sur la tête des occupants lors de l'ouverture. L’entrée et la sortie de la voiture requiert un peu de gymnastique en obligeant à glisser ou s’asseoir d’abord sur le seuil. Cela est facilité par le basculement du volant. La version originale SLR gagna les Mille Miglia 1955 avec une vitesse moyenne de 157,65 km/h sur 1 600 km ainsi que les 24 heures du Mans et divers grand prix.
Here is another one-off "MGA Without A Name". This one is (was) an MGA Twin Cam roadsterm chassis number YD3 1190, with the body converted to a gull wing coup. Each to his own? Hard to say why someone goes to so much trouble to reduce the market value of a car. Just to have something different I suppose. Then again, "back in the day" when this was done the car may not have been worth much to begin with.
By now the sinuous lines of the original GTV are gone and the complex cockpit opening system with them, replaced by two gull-wing doors, a still unusual solution. The body was still aggressive and the interiors were more cared. This more complex building technique forced many buyers to choose it already assembled, rather than assembling it by themselves. It was equipped with a 1490 cc Alfa Romeo boxer engine, so performances were increased.
This Jaguar powered XK twin OHC 6 cylinder special was built by Robert Quelch ( Deceased ) over a ten year period from Dec 1964 to 1974 . He designed and made the whole car from the ground up.The wheels even the steering wheel where manufactured by him. The gull wing doors are hydraulic operated and required more time than any other part of the car to perfect. Grafton . NSW .
This was Fiberfabs attempt at a 3 wheeler. It was called the Scarab STM and they did sell a few of them believe it or not.
The Mirage K 18, later known as the Scorpion K 19, went into production briefly at Telford in the mid-70's. It was displayed at the 1973 London Motor Show on the Innes Lee Motor Company's stand (£2,250). It was designed by Tom Killeen, an Irishman. In the early 1950's Mr. Killeen had been designing monocoque racing cars chassis. His front engined monocoque Sports racers were well ahead of their time. He claimed to have made the world's very first monocoque already in 1950. All Scorpions had 998cc engines and standard Imp running gear. The prototype was built in a small workshop in Sutton Coldfield. Tests were carried out at Blackrock Sands near Portmadoc in North Wales, and a brief road test even appeared in 'Motor'.